Démons {{ currentPage ? currentPage.title : "" }}

*Il s’agit de la page qui englobe les mécaniques de jeu relatives à cette espèce. Pour la description diégétique, consultez la page dans la section “Univers”.

Le terme démon représente la majeure partie des créatures humanoïdes venant d'un autre plan d'existence désormais envahi par le Chaos. Il s'agit en sommes des rares peuples qui ont réussi à fuir ce plan avant d'être happés par le Chaos.

Les démons se divisent donc en plusieurs peuples bien distincts, donc les principaux sont Béors, Makiels et Nérès. Ceux-ci sont originaires de la Seigneurie d’Isòr.

TRAITS

Tous les démons ont les atouts suivants :

Marque du Chaos : Touchés par le Chaos, les démons ont une partie de leur anatomie qui est légèrement mutée, sans que ça ne change en rien leurs capacités. Cette mutation est toujours visible, même en polymorphie.

De plus, les démons dispose par défaut de l’atout Conscience de l'anthropie, puisque ce dernier a marqué jusqu'à leur essence.

Certaines de ses marques sont héréditaires et sont parfois considérées comme étant la marque d'une grande lignée. En général, cette marque est alors presque exhibée par le porteur.

Polymorphie : Les démons disposent d'une autre forme humanoïde, proche soit d'un humain soit d'un elfe, qu'ils peuvent prendre presque à volonté. La seule limite est que la transformation prend une trentaine de secondes (environ 5 tours en combat) et la déformation de la chair du démon l'empêche d'agir librement. Il ne peut plus effectuer que des actions simples avec un malus de -1 lors de ces actions.

Comme la Marque du Chaos est encore visible même lors de la polymorphie, les démons sont toujours reconnaissables sous cette forme. Il est généralement assez mal vu qu'un démon tente de ce faire passer pour un humain ou un elfe, notamment à cause des multiples guerres contre les démons.

NOMS

Les démons ne forment pas une seule race, mais un groupement de races. De ce fait, à l’instar des peuples de la Citadelle, les noms des démons se sont mélangés, à tel points qu’il n’y a pas de règle particulière englobant leurs noms.

Ceci étant, ils tendent à affectionner les noms plutôt courts comportant plus de consonnes que de voyelles par le biais de syllabes composées de deux consonnes et une voyelle.

{{{ content }}}